Pages avenir de l'humanité


mercredi 4 avril 2012

Un chemin de compostelle peu orthodoxe et sans intérêt

Me voilà enfin prêt pour mon chemin de compostelle.
périple que je vais effectuer, sans pataugas ni sac à dos, car celui ci va s'effectuer contrairement à ce que l'on pourrait penser, le séant sur une structure de bois et d'empaillage, qu'on appelle plus communément chaise.
Devant mon clavier et mon ordinateur, me voilà tel un croisé à la quête du saint graal, que je pensais trouver sur mon chemin de blog en blog, que je nommerai ( "d'écologisme humaniste" ) mais qui n'en porte que le nom.
Mon bût était d'en ramener un maximum de d'enseignements positif et d'une grande richesse d'informations.
Alors me voilà parti avec mon épée et mon cheval, Heu! pardon avec mon clavier et mon ordi, pour voguer sur les chemins de la toile.
Mon départ, fût périlleux, d'un pas mal adroit et hésitant, car je ne savait pas ce que j'allais y découvrir.
Me voilà arrivé à ma première étape, je m'installe aisément sur le blog, et m'invite dans les commentaires, quelle stupeur, j'avais du mal à comprendre des commentaires d'une richesse empli de vide, quel désarroi, ce n'est pas ici que je trouverai le saint graal.
Enfin cela ne me perturbe pas plus que ça, je suis au début de périple,et je continu mon chemin.
Et me voilà à ma deuxième étape, là encore je m'installe, et m'invite dans les commentaires, Wahoo, ça vole bas, faut que je baisse la tête au risque de me prendre un mauvais commentaire en pleine figure, j'envois quelque commentaires par ci et par là, mais je n'arrive rien à ferrer d'intéressant, quelques pseudo scientifiques, qui croient tout savoir sur tout??? avec un esprit fermé à double tour, qu'il faudrait un lance roquettes pour en ouvrir leur esprit pitoyable.
Ce n'est pas là non plus que je trouverai ce que je cherche.
Pugnace, je continu mon chemin, et à pas de géant, je vole de blog en blog, je commente, je propose, j'argumente, rien toujours rien, décidément l'espoir de trouver le saint graal est bien compromis.
J'arrive à la fin de mon périple bien déçu, de n'avoir trouvé que maigre pitance, moi qui croyais trouver des personnes qui voulaient changer le monde, quel fût mon désespoir.
Je ne dois tout de même pas généraliser, car quelques uns m'apportèrent.
Mais je reste perplexe, quant à l'envie des gens de bouger sérieusement, ils se sentent bien dans leur petit monde, un changement oui peut être mais juste ce qu'il faut, pour que cela ne les dérangent pas trop, on veut bien changer oui mais toujours avec le même système, je ne voudrai pas que l'on me prenne mes acquis, aux risques de les partager, car ce qui est à moi est à moi, enfin pour faire court on a les pieds dans la merde et on dit que c'est bon????
Alors comme je le disais, me voici arrivé à la fin de mon périple désemparé, ne sachant à quel saint me vouer.
Epuisé je décidais de poser mon séant, sur un tronc d'arbre mort, pour me reposer quelques instants.
Après un peu de réflexion, je levais la tête et les bras vers le ciel, en invectivant DIEU par de multiples questions, mais ne daignât pas me répondre.
Pourquoi, ne me répondez vous pas m'insurgère! vous ne savez qui je suis? Je suis celui qui est parti à la recherche du saint graal, alors pourquoi me mal mener de la sorte.
Alors voyant son insistance à me dédaigner, je l'invectivais encore une fois, et lui dit, pourquoi avoir créé ces mollusques vertébrés, avec cette surcharge pondérale de poids qui est notre cerveau, puisque nous n'en avons nul besoin, puisque nous ne savons pas comment ça fonctionne, et que vous n'en avez laissé aucun mode d'emploi, pourquoi cette punition, pourquoi nous avez vous donné un paradis et pourquoi en avons nous fait un enfer, pourquoi nous avoir fait avide de l'inutile, pourquoi nous avoir fait stupide et cupide, pourquoi tant de questions sans réponses.
ne dédaignant toujours pas me répondre, je me suis finalement résigné, et me suis dit, pourquoi me répondait il, qui suis je. Alors finalement, plus tard  je compris qu'il m'appartenait d'en apporter les réponses. Et je compris aussi que son silence seul, était la réponse à mes questions.
voici la fin de mon périple peu orthodoxe je dois vous l'avouer.
A toutes évidences on nous a pas fait ce que nous sommes, mais nous sommes devenus ce qu'on est.

polo marcel

      









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